À propos
Située au-dessus du lac Mouriscot à Biarritz, la Villa Magnan est ce que l'on appelle une pension de famille. La propriété est composée de plusieurs maisons d'hôtes. La villa principale, quant à elle, reste privée et n'est pas accessible aux hôtes. Le site vous offrira un séjour tranquille, dans un environnement naturel et entouré de nos animaux, tout en vous permettant de vous rendre rapidement à la plage ou dans le centre-ville. Nous recommandons aux résidents de disposer d'une voiture afin de profiter des environs et de pouvoir se déplacer plus facilement. Pendant votre séjour, nous vous offrirons un guide avec nos adresses préférées. Le petit-déjeuner, inclus dans le prix de la chambre, sera servi en compagnie de tous les résidents sur la terrasse de la cuisine, dans la salle à manger de la Villa ou dans l'Orangerie, entre 9 et 11 heures. Nous travaillons avec des producteurs et des produits locaux, et nos cuisiniers préparent chaque matin un petit-déjeuner sucré et salé. Veuillez noter que les chambres ne sont pas destinées à la préparation de repas et qu'il n'y a pas d'accès à la cuisine de la Villa.
"Le petit-déjeuner se déroule dans la grande cuisine de la Villa ou sur sa terrasse, ou dans l'Orangerie. On le sert à partir de 9h00 et normalement jusqu’à 11h. Les résidents arrivent, les uns après les autres, et se retrouvent autours d’une même grande table. En général, notre cuisinière est déjà en train de faire cuire mille et uns bons petits plats ou gâteaux. Donc ça sent bon, comme dans une vraie maison. On a une platine et des vinyles dans la cuisine et on met un peu ce qu’on veut. On peut danser parfois. C’est plutôt joyeux. On parle beaucoup, de tout et de rien, comme dans une vraie famille Ceux qui sont plus sauvages, ont 3 hectares pour s’échapper." Anne Israel pour Vogue France, rédigé par Jade Simon
"En 2017, Anne et Jérôme Israel, ancienne décoratrice dans le cinéma et ex-chef opérateur, rachètent la propriété à l’un des petits-fils des propriétaires d’origine, le marquis de Casa Riera et sa femme, Blanca de Aragón y Carrillo de Albornoz (les parents de la défunte reine des Belges, Fabiola), qui s’y étaient réfugiés au début des années 1930, au moment de la chute de la monarchie espagnole et de la proclamation de la République." Rédigé par Claire Dhouailly, pour Le Monde magazine.
"Comment décrire l'ambiance de la Villa Magnan?
C’est un peu comme un rêve éveillé. Je crois qu’il y a dans ce lieu quelque chose de magique, de généreux et de grand. Je pense qu’on s’y sent bien et que la dimension et l’apaisement fait qu’on a envie d’y rester. C’est un lieu très inspirant, je crois, du moins c’est ce que disent ceux qui y sont passés, ils en repartent inspirés." Anne Israel pour Vogue France, rédigé par Jade Simon
"Une madeleine de Proust. En 2017, lorsque, derrière ce portail monumental, Anne et Jérôme Israel ont découvert la Villa Magnan ensevelie sous les ronces, à l’ombre d’arbres centenaires, comme les plus chanceux découvrent parfois un trésor dans leur vie, tout semblait dissimulé et pourtant tout était bien là. Le soleil tentait de se frayer un chemin à travers la végétation sauvage et les volets roulants en bois bloqués à mi-hauteur. Elle était décoratrice dans le cinéma, lui chef opérateur. Ensemble, ils avaient construit une vie de famille hors normes dans une ancienne usine de plusieurs milliers de mètres carrés à Montreuil, et rêvaient d’écrire une nouvelle histoire, complètement différente.C’est ainsi qu’après quatre-vingts années dans les bras de Morphée, la belle s’est réveillée tout en douceur, et que la vie a repris son cours dans ses volumes si harmonieux, comme si de rien n’était, avec la même magie." Rédigé par Sophie Pinet, pour AD Magazine
"Le petit-déjeuner se déroule dans la grande cuisine de la Villa ou sur sa terrasse, ou dans l'Orangerie. On le sert à partir de 9h00 et normalement jusqu’à 11h. Les résidents arrivent, les uns après les autres, et se retrouvent autours d’une même grande table. En général, notre cuisinière est déjà en train de faire cuire mille et uns bons petits plats ou gâteaux. Donc ça sent bon, comme dans une vraie maison. On a une platine et des vinyles dans la cuisine et on met un peu ce qu’on veut. On peut danser parfois. C’est plutôt joyeux. On parle beaucoup, de tout et de rien, comme dans une vraie famille Ceux qui sont plus sauvages, ont 3 hectares pour s’échapper." Anne Israel pour Vogue France, rédigé par Jade Simon